El Gregou a écrit:Mais là j'ai juste l'impression qu'on a oublié que le jeu vidéo c'était aussi la capacité d'inviter au rêve, au voyage, à l'imagination, à la découverte, à la beauté également.
Oh que oui, j'aimerai bien me manger du Child of Eden plus souvent ...
Après, faut se tourner vers l'indé' pour retrouver un peu cet esprit, on va dire, "d'antan".
Vrai que si les jeux violents étaient une exception à l'époque, elle devient quasiment la norme. Après, les joueurs de l'époque qui jouais à Doom ou à Duke Nukem 3D se prenaient aussi pour des caïds je pense.

Mais ça, c'était entre une partie de Sonic the Hedgehog, Super Mario World ou après une longue partie de Point n' Click ... aujourd'hui, ces genres de jeu qui proliféraient sont devenus au contraire une denrée rare ...
Il ne faut pas tout catégoriser de la même façon : on ressent pas la violence de la même manière dans un Arkham Asylum que dans un Battlefield ou un CoD. Mais là, ça tourne vite en rond, et comme tu dis, le "POUM-POUM-BANG-BANG" devient un atout commercial lorsqu'on voit la prolifération de FPS "kikoolol" sauce CoD ... d'autant plus que les moyens techniques permettent une meilleure immersion, et quoi de mieux qu'un jeu à la première personne pour qu'un jeune ado' se sente "acteur" ...
C'est dommage, car même si je suis pas fan de FPS, y'a moyen d'offrir du contenu bien plus intéressant et développé (qui a dit BioShock ?).