Les journalistes qui traitent de jeux vidéo sont-ils vendus, totalement vendus aux éditeurs de jeux vidéo à coup d'affiches publicitaires, de petits cadeaux, de ménages, de faveurs ? C'est la question que pose le "DoritosGate", un scandale interstellaire, né en Grande-Bretagne qui connaît aujourd'hui quelques échos en France. Dans quelles conditions travaillent les journalistes qui testent les jeux vidéo ? Peut-on leur faire confiance ? C'est le débat de cette semaine avec quatre invités : Gaël Fouquet, rédacteur en chef de Gamekult.com, Julien Chieze, co-fondateur de Gameblog.fr, sans oublier Usul, chroniqueur pour Jeuxvideo.com. Et au milieu de ces représentants de la presse web, Ivan Gaudé, le directeur de la rédaction de Canard PC, un magazine papier de référence.
Il est consternant de constater que ce débat ce termine en règlement de compte au final. Le monde de la presse vidéoludique a un bon gout de pourris et mérite d’être évincé totalement de la scène par le domaine amateur ,tant la mauvaise foi et le conflit d’intérêt,non avoué,est omniprésent. Ménestrel,promoteurs et rédacteurs totalement indépendants? Mon cul! Ce milieu est consanguin. Les héros de ma jeunesse sont désormais mort et enterré...
Les réactions et la mise en avant de monsieur Chièze sont assortis d'une forte malhonnête exacerbé lorsque l'on avoue que l'on prête ses talents auprès des éditeurs, tout en étant auto-entrepreneur pour cette fonction .
La véritable indépendance et la totale subjectivité impartiale, incontesté et incontestable, dans les tests et autres news qu'un site puisse offrir, n'est possible qu'en ayant un détachement complet envers un système rémunératoire en corrélation avec le milieu. J'inclus les dons de goodies et de jeux dedans qui, à terme, pervertissent le fil d'un site. J'en ai fait la malheureuse expérience auprès de mon intronisation au monde du blog généraliste, ce qui fais que peu à peu je me détourne de ce milieu....