Voyeur est un jeu FMV sorti sur PC en 1994 (et aussi sur CDI).
Le principe est astucieux: on est un journaliste (ou un détective privé? pas compris) situé dans l'immeuble en face du manoir d'un candidat à la présidence US.
Et on passe le week-end à surveiller la résidence par les fenêtres, en filmant tout avec sa caméra super puissante. Car cette famille de politiques est pourrie et quelqu'un va se faire tuer le 2e jour...
95% du jeu se passe comme ça: on balade son curseur sur une vue extérieure du manoir. Quand un truc intéressant se passe dans une pièce, le curseur se transforme en oeil ou en oreille, et on peut voir ou entendre ce qui se passe.
On enregistre alors la séquence, qu'on peut se repasser ensuite dans sa chambre pour analyse. On peut aussi observer des pièces vides pour y trouver une preuve utile (du genre un écran d'ordi, une lettre qui traine). Un premier truc qui choque: une caméra qui filme par la fenetre en quasi contre plongée peut filmer une lettre posée sur la table en vue du dessus. Bon, je chipote, mais c'est ça
Mais il y a des limites: pour chaque séquence "horaire" -chaque journée étant découpée en 5-6 tranches) notre caméra a une durée de batterie TRES limitée. Donc on ne peut pas tout voir ou enregistrer. Pire: plusieurs scènes se déroulent en même temps. Il faudra donc bien choisir ou être chanceux.
Quand le meurtre se produit (vers 22h30 le 2e jour) 2 possibilités: si on a deviné qui allait se faire tuer, on peut le prévenir et lui éviter une mort certaine.
Si on a pas deviné, alors il faut être aux aguets pour filmer le meurtre tel le plus immonde paparazzi, et ensuite prévenir la police.
Et franchement, c'est pas simple. Je crois qu'il y a 4 scenarios différents, mais il est très difficile de prévoir qui va se faire trucider, car plusieurs personnes ont une bonne raison de disparaitre.
Alors, c'est bien une enquete policière déguisée, et vu le contexte, ça ressemble un peu à House of cards. Même plus qu'on ne le pense. Car le titre du jeu entrainant un sous-entendu (Voyeur, on ne mate pas n'importe quoi), beaucoup de scènes seront empreintes d'une forte connotation sexuelle, pire que dans HOC saison 1. Déjà, le jeu s'ouvre sur une fille qui se désape en porte jarretelles
Mais ensuite ça n'arrete jamais: une des protagonistes se balade partout en culotte, on a un couple qui pratique le SM un peu partout, les filles se changent très souvent, le masseur chinois manque de se taper tout le monde, on a meme une presque scene lesbienne car il en faut pour tous les gouts.
Ce jeu est très divertissant quand on le découvre. On a vraiment l'impression d'espionner cette famille, et moi je passais mon temps à débusquer la bonasse blonde en culotte et la secretaire SM. Au point que j'en ai loupé le meurtre.
Par contre, le souci évident de ce jeu, c'est le manque de replay value. Le faire 2-3 fois pour bien cerner l'histoire et voir toutes les scènes, et après.... ben plus rien. Il y a 4 fins différentes je crois, mais c'est tout, l'histoire change assez peu et seul le dénouement est différent.
Très content de l'avoir fait, mais aucun intéret d'y retourner.
Le principe est astucieux: on est un journaliste (ou un détective privé? pas compris) situé dans l'immeuble en face du manoir d'un candidat à la présidence US.
Et on passe le week-end à surveiller la résidence par les fenêtres, en filmant tout avec sa caméra super puissante. Car cette famille de politiques est pourrie et quelqu'un va se faire tuer le 2e jour...
95% du jeu se passe comme ça: on balade son curseur sur une vue extérieure du manoir. Quand un truc intéressant se passe dans une pièce, le curseur se transforme en oeil ou en oreille, et on peut voir ou entendre ce qui se passe.
On enregistre alors la séquence, qu'on peut se repasser ensuite dans sa chambre pour analyse. On peut aussi observer des pièces vides pour y trouver une preuve utile (du genre un écran d'ordi, une lettre qui traine). Un premier truc qui choque: une caméra qui filme par la fenetre en quasi contre plongée peut filmer une lettre posée sur la table en vue du dessus. Bon, je chipote, mais c'est ça
Mais il y a des limites: pour chaque séquence "horaire" -chaque journée étant découpée en 5-6 tranches) notre caméra a une durée de batterie TRES limitée. Donc on ne peut pas tout voir ou enregistrer. Pire: plusieurs scènes se déroulent en même temps. Il faudra donc bien choisir ou être chanceux.
Quand le meurtre se produit (vers 22h30 le 2e jour) 2 possibilités: si on a deviné qui allait se faire tuer, on peut le prévenir et lui éviter une mort certaine.
Si on a pas deviné, alors il faut être aux aguets pour filmer le meurtre tel le plus immonde paparazzi, et ensuite prévenir la police.
Et franchement, c'est pas simple. Je crois qu'il y a 4 scenarios différents, mais il est très difficile de prévoir qui va se faire trucider, car plusieurs personnes ont une bonne raison de disparaitre.
Alors, c'est bien une enquete policière déguisée, et vu le contexte, ça ressemble un peu à House of cards. Même plus qu'on ne le pense. Car le titre du jeu entrainant un sous-entendu (Voyeur, on ne mate pas n'importe quoi), beaucoup de scènes seront empreintes d'une forte connotation sexuelle, pire que dans HOC saison 1. Déjà, le jeu s'ouvre sur une fille qui se désape en porte jarretelles
Mais ensuite ça n'arrete jamais: une des protagonistes se balade partout en culotte, on a un couple qui pratique le SM un peu partout, les filles se changent très souvent, le masseur chinois manque de se taper tout le monde, on a meme une presque scene lesbienne car il en faut pour tous les gouts.
Ce jeu est très divertissant quand on le découvre. On a vraiment l'impression d'espionner cette famille, et moi je passais mon temps à débusquer la bonasse blonde en culotte et la secretaire SM. Au point que j'en ai loupé le meurtre.
Par contre, le souci évident de ce jeu, c'est le manque de replay value. Le faire 2-3 fois pour bien cerner l'histoire et voir toutes les scènes, et après.... ben plus rien. Il y a 4 fins différentes je crois, mais c'est tout, l'histoire change assez peu et seul le dénouement est différent.
Très content de l'avoir fait, mais aucun intéret d'y retourner.