Cotton Boomerang (Saturn)

 
Cotton Boomerang a été développé par Success, responsable entre autres de Guardian force, Psyvariar et de la série des Cotton, ainsi qu'avoir développé et édité l'intégralité des SuperLite 1500 Series sur PS1.

"C'est l'histoire d'une jeune sorcière nommée Cotton, accompagnée de sa fée, Silk, qui va s'embarquer dans un voyage au travers de nombreux stages en quête de son bonbon magique préféré, le Willow. Et manque de bol, à la fin, sa récompense lui file entre les mains". Et c'est ainsi que chaque épisode de cette licence jamais sortie du territoire Nippon peut être résumé. Simple, court, efficace, et on peut maintenant se concentrer sur le gameplay, car lui change d'épisode en épisode.

Cotton Boomerang est un remix de Cotton 2: les graphismes ont été améliorés voire redessinés, certains stages se révèlent différents, les patterns ennemis ont été modifiés, et surtout le gameplay est complètement remanié. D'ailleurs, il est difficile de dire si l'un ou l'autre des Cotton est meilleur, il sont simplement différents.

Au départ, vous devez choisir 3 personnages parmi les 8 disponibles (3 déclinaisons de Cotton, 3 d'Appli, Silk et Needle), chacun avec des attaques et un pattern de tir uniques. Les 2 nouveaux personnages jouables, Silk et Needle, ont des facilités pour éviter les tirs (car plus petits), mais il est parfois difficile de les distinguer dans la mêlée visuelle des derniers niveaux.

Mais ne croyez pas que le jeu sera 3 fois plus facile: Chacun de vos personnages représente une vie et meurt à la première touche. Vous pourrez toutefois trouver des items permettant de les ressusciter lors du Tea Time, phase bonus à la fin de stage. Vous pouvez également changer de personnage un nombre limité de fois, chaque changement ayant l'effet avantageux d'une Smart Bomb. A noter également que le personnage incarné montera de niveau dès l'obtention d'un cristal jaune.

La version Saturn vous octroie la possibilité de mapper les Command Shot directement sur les boutons de la manette, vous évitant ainsi de devoir réaliser ces combinaisons de touches à la Street Fighter fastidieuses à la longue.