bon, allons-y...
donc Goldeneye est sorti le 1er.
Quand j'ai acheté ma N64, j'ai pris 2 jeux avec: Turok et Goldeneye.
j'ai du jouer 3h à Turok en tout, en me forçant. Alors que j'ai retourné Goldeneye dans tous les sens.
Goldeneye est le genre de jeu sur lequel j'ai passé des nuits avec des potes, à se fighter en écran splitté sur ma télé 36cm...
Super maniable avec la manette 64 quoi qu'on en dise, des missions très intéressantes (la remontée du train, super souvenir), une arme qui défonce tout (le sniper rifle et son zoom, la 1ere fois que je l'ai chopé, c'était énorme...)... et SURTOUT son mode multijoueur à tout casser (le golden gun
).
le défaut: les missions de protection, avec des PNJ cons comme des huitres qui se jettent sous les balles ennemies ou les votres...
Perfect dark: je l'ai acheté day one car c'était la "suite" de goldeneye.
il utilisait le ram pack pour de meilleurs graphismes et plus de bots en multijoueur je crois.
La réalisation est effectivement meilleure. Un mode champ de tir qui sert d'entrainement et ou on peut gagner des médailles, un mode solo sympa aussi meme si moins accrocheur a mon gout car trop axé SF et donc moins réaliste.
Idem pour les armes: plus de variété, mais des armes un peu too much (le Callisto ou le laptop gun)
Par contre ils ont voulu tellement en faire en mode multijoueur que ça ne rime plus a rien. Des arènes avec des bots, mouais. Et un je ne sais quoi qui fera que je n'y jouerai quasi jamais en multi.
En conclusion, Perfect dark est peut-etre un poil meilleur et plus varié en solo, et plus proche des standards FPS actuels.
Cela dit, Avec son mode multi, son mode solo quand meme très réussi et son atmosphère si spéciale, Goldeneye est un peu devant selon moi.
Je finirai en disant que je me suis bien fait couillonner à l'époque. J'avais lu dans un magazine que "the world is not enough", un nouveau james bond fait par rare, sortait sur N64.
Sauf que c'est pas de Rare, mais de EA je crois. Et moi j'ai acheté. Résultat, un gameplay 10 fois moins bon avec notamment des sauts moisis, et des graphismes qui m'ont fait pleurer tel un portugais devant un mur mal enduit.