Par @elodiebo
Plate forme : Intellivision
Genre : shoot
Editeur : Mattel
Année de sortie : 1981
Niveau graphismes, nous sommes sur Intellivision, donc cela reste plus que minimaliste ! Les masses sont plutôt informes et peu colorées… La seule fantaisie est le changement de couleur du ciel suivant les paliers atteints. Ouaouh ! Pas de musique non plus, mais des effets sonores qui accompagnent l’apparition des Ovnis et des missiles blancs. Donc très sommaire mais utile ! Heureusement, le gameplay est plutôt sympa, très addictif et on a vraiment du mal à décoller de l’écran…
Astrosmash est donc un must sur Intellivision, qui fait passer de bons moments malgré ses graphismes informes. Il est la preuve par A+B que la qualité graphique ne fait pas tout !
Anecdotes
Plate forme : Intellivision
Genre : shoot
Editeur : Mattel
Année de sortie : 1981
A l’époque, Space Invaders et Asteroids étaient une véritable folie… Il fallait absolument que chaque console et chaque ordinateur ait son propre jeu de tir spatial. Parmi eux, on trouve Astrosmash, LE jeu incontournable de l’Intellivision, LE jeu qu’il fallait absolument posséder à l’époque.
Astrosmash est un jeu très simple mais ô combien addictif ! Il nous place aux commandes d’un tank ou d’un vaisseau chargé d’éliminer tout ce qui susceptible de tomber sur Terre. Cette fois-ci, on ne combat pas d’affreux aliens immondissimes protégés par leurs vaisseaux, non, on combat une pluie de météores, d’astéroïdes, des missiles et autres… Oui, c’est nettement moins drôle et j’avoue qu’il faut une sacrée imagination pour identifier les masses informes que l’on voit à l’écran comme des astéroïdes!
Le but est donc d’éliminer tout objet extra-terrestre avant qu’il ne touche le sol. Tout impact de pierre ne fait pas perdre une vie, il retire « seulement » des points au score. Mais si le jeu s’arrêtait à cela, ce serait trop facile et infini… Un seul tir ne suffit pas à les éliminer : chaque astéroïde se divise en deux sous l’impact du tir (et oui, c’est bien un clone d’Asteroids…), et il faut donc à tout pris désintégrer ces fragments. Mais ce n’est pas tout… Des OVNI qui tirent à tout va et des pierres blanches (me demandez pas ce que c’est (des missiles ?), je n’ai pas pu deviner…) peuvent quant à eux vous liquider votre canon et vous faire perdre une vie !
Astrosmash est un jeu très simple mais ô combien addictif ! Il nous place aux commandes d’un tank ou d’un vaisseau chargé d’éliminer tout ce qui susceptible de tomber sur Terre. Cette fois-ci, on ne combat pas d’affreux aliens immondissimes protégés par leurs vaisseaux, non, on combat une pluie de météores, d’astéroïdes, des missiles et autres… Oui, c’est nettement moins drôle et j’avoue qu’il faut une sacrée imagination pour identifier les masses informes que l’on voit à l’écran comme des astéroïdes!
Le but est donc d’éliminer tout objet extra-terrestre avant qu’il ne touche le sol. Tout impact de pierre ne fait pas perdre une vie, il retire « seulement » des points au score. Mais si le jeu s’arrêtait à cela, ce serait trop facile et infini… Un seul tir ne suffit pas à les éliminer : chaque astéroïde se divise en deux sous l’impact du tir (et oui, c’est bien un clone d’Asteroids…), et il faut donc à tout pris désintégrer ces fragments. Mais ce n’est pas tout… Des OVNI qui tirent à tout va et des pierres blanches (me demandez pas ce que c’est (des missiles ?), je n’ai pas pu deviner…) peuvent quant à eux vous liquider votre canon et vous faire perdre une vie !
Et le repompage d’Asteroids n’aurait pas été complet si on ne pouvait pas faire de saut dans l’hyperespace en cas d’urgence, pour se retrouver à un autre moment du jeu ! Bien déroutant lorsqu’on ne connaît pas du tout ce système…
Évidemment, plus on avance, plus les ennemis descendent vite de l’écran, et plus ils sont nombreux. Astrosmash demande donc une grande dextérité et une bonne concentration. Cependant, il reste accessible aux débutants car il s’adapte au niveau du joueur, en devenant plus facile au fur et à mesure que l’on perd des vies. On s’en aperçoit notamment lorsqu’on est replacé plus en arrière à chaque vie perdue. Cela permet de rendre le soft plutôt abordable (voire beaucoup trop facile !!!), et de faire des parties plutôt longues. En clair, ne vous attendez pas à faire tourner la manette rapidement !
Évidemment, plus on avance, plus les ennemis descendent vite de l’écran, et plus ils sont nombreux. Astrosmash demande donc une grande dextérité et une bonne concentration. Cependant, il reste accessible aux débutants car il s’adapte au niveau du joueur, en devenant plus facile au fur et à mesure que l’on perd des vies. On s’en aperçoit notamment lorsqu’on est replacé plus en arrière à chaque vie perdue. Cela permet de rendre le soft plutôt abordable (voire beaucoup trop facile !!!), et de faire des parties plutôt longues. En clair, ne vous attendez pas à faire tourner la manette rapidement !
Niveau graphismes, nous sommes sur Intellivision, donc cela reste plus que minimaliste ! Les masses sont plutôt informes et peu colorées… La seule fantaisie est le changement de couleur du ciel suivant les paliers atteints. Ouaouh ! Pas de musique non plus, mais des effets sonores qui accompagnent l’apparition des Ovnis et des missiles blancs. Donc très sommaire mais utile ! Heureusement, le gameplay est plutôt sympa, très addictif et on a vraiment du mal à décoller de l’écran…
Astrosmash est donc un must sur Intellivision, qui fait passer de bons moments malgré ses graphismes informes. Il est la preuve par A+B que la qualité graphique ne fait pas tout !
Anecdotes
- Astrosmash a été adapté sur 2600 sous le nom d’Astroblast
- Il fait partie de la collection Space Action Network, les boites bleues de l’Intellivision, regroupant tous le jeux « spatiaux » : Space Battle, Space Armada, Space Hawk et Star Strike
- Une version « sex » du jeu existe, sous le nom de Space Cunt (les grands émotifs sont priés de s’abstenir)
- Il fait partie de la collection Space Action Network, les boites bleues de l’Intellivision, regroupant tous le jeux « spatiaux » : Space Battle, Space Armada, Space Hawk et Star Strike
- Une version « sex » du jeu existe, sous le nom de Space Cunt (les grands émotifs sont priés de s’abstenir)