Alice in Wonderland (GBC)

Genre : Plateforme/Mini-jeux
Nombre de joueurs : 1 joueur
Sortie : 2000
Développeur : Digital Eclipse Software, Left Field Productions
Éditeur : Nintendo
Autre machines : -


Mon avis 2018 :

Je suis plutôt content d'avoir terminé ce titre. A la base j'ai beaucoup aimé le livre, mais aussi le « Classic » Disney.
J'avais hâte de voir si ça allait être complètement barré et « intelligent », ou si monsieur Dollars était passé par là et fait des ravages...

Alors, bien ou bien ?

Et bien ma foi, j'ai pris du plaisir à me balader dans Wonderland ^^ Le jeu suit le dessin animé à fond, et c'est en apercevant le lapin blanc et sa montre à gousset criant : « Je suis en retard ! » que le joueur commence son périple. Première phase : de la plateforme tranquille dans laquelle on court après la bête jusqu'à son terrier. Une fois arrivée, on entre dedans... et on tombe dans un énorme trou ! En chute libre le gameplay change donc, on fait juste du droite/gauche (haut/bas = ralentir/freiner) pour esquiver des horloges et des pots de fleurs, tout en tentant de ramasser des étoiles. Cela fait, on continue notre recherche dans un niveau de plateforme classique mais avec une particularité : on peut, en mangeant des champignons, grandir et rétrécir à volonté. On se retrouve une nouvelle fois avec un gameplay différent (même si la base reste la même), dans des stages où l'on recherche une clef pour sortir. Juste après les deux niveaux de ce style, un boss apparaît : là pour le coup, c'est du classique, quelques sauts sur la tête et c'est terminé.

Je ne vais pas tout dévoiler, mais sachez qu'après ça, le jeu change encore totalement de visage. Alice pleure de ne pas retrouver le lapin blanc et inonde la pièce de ses larmes. Elle s'enferme dans une bouteille vide et navigue jusqu'à Wonderland. A partir de là, Alice in Wonderland devient un pseudo jeu d'aventure. Le joueur dirige désormais la petite fille à la manière d'un « The Legend Of Zelda », vu de haut quoi. Et dans ce monde complètement barré il faudra rendre service à tous les perso du DA en recherchant des objets précis. Au final, le jeu propose pas mal de situations différentes grâce au dessin animé. Et même si les stages sont un peu simplistes, le tout fait que l'on reste accroché au titre. Bah oui, on est comme la petite Alice, curieux de voir la suite...

Enfin bref, j'ai été plutôt surpris qu'ils aient respecté l’œuvre à ce point là. Surtout lorsque c'est populaire, destiné à des enfants etc. Bon après c'est un Disney un peu spécial...  C'est peut-être ça qui le sauve   Enfin voilà, c'est pour moi une petite curiosité sympa. Ah oui j'allais oublier, on peut régler la difficulté. En « Hard », sur la fin je pense que ça se complique pour des enfants de moins de 7 ans. Un adulte, devra se concentrer un minimum pour réussir.