Ce que je retiens essentiellement, au début de l'aventure Ps2, c'est un état général passionnel d'un public pour une console qui n'en valait,au départ, clairement pas la peine,sous le joug de mensonges marketing tous plus gros que les autres (Sadam Hussein utilisant des CPU de la Ps2 pour ses tètes nucléaires, l'Emotion Engine,vaste escroquerie nominative, qui n'est rien d'autres qu'un simple GPU), afin de contrecarrer l'avance de la Dreamcast.
Le lancement de cette machine c'est fait dans l'hystérie la plus totale avec des débordements sans précédent que la presse,sous l'oeil voyeur bienveillant, au bon gout de sensationnel, se fit un plaisir de relayer.
Accompagné d'un line-up ridicule aux premiers abords (Fantavision, Wouhou !
), la Ps2 c'est vendu,lors de ces premiers instants, en tant que platine DVD la plus abordable du commerce. Il aura fallu quelques temps d'attentes afin de pouvoir goûter à des jeux plaisants,devenant peu à peu nombreux au fil du temps, relevant ainsi grandement l’intérêt de la Ps2 pour ma part, à un point ou elle est devenu incontournable par la suite.
La Ps2 c'est un peu l'ennemi que l'on a tant aimer détesté et que l'on a appris a apprécier...