Cette année 2014 a, en ce qui me concerne, été très marquée par mon temps de jeu quasi-nul sur des jeux rétros. La faute à plusieurs facteurs...
Tout d'abord, ma télé cathodique a plus ou moins rendu l'âme, me privant dès lors de toute ma ludothèque sur les anciennes consoles. Pas question, évidemment, de faire de la Megadrive ou de la Playstation sur une télé HD ! Il me faudra attendre les fêtes de fin d'année pour aller récupérer chez ma mère une autre télé qui, je l'espère, palliera à mon problème.
Secundo, il y a eu assez de jeux qui m'ont intéressé et sur lesquels j'aurai passé assez de temps pour me détourner des anciennes machines.
Mais finalement, le point le plus important dans mon désintérêt relatif face aux jeux rétros aura sans doute été provoqué par l'évolution sociale vomitive de ce qui était pour moi un passe-temps, un pur plaisir, une petite sucrerie qu'on croque le temps d'une après-midi en se disant "Tiens je me ferais bien un bon p'tit Rocket Knight à l'ancienne", en un bizness régi par des pourris avides de fric pour un public toujours plus enclin à privilégier la notoriété et la valeur monétaire des jeux plutôt que leur intérêt. Comment réagir, en effet, lorsqu'on voit les jeux de notre enfance être traînés dans la boue de l'inflation avec des ventes aux enchères dirigées par des requins aux dents longues ? Comment ne pas être déçu du monde du jeu rétro lorsque les prix des jeux Megadrive, par exemple, ont en moyenne triplé en un an ? Quand un jeu SNES aussi courant que Zelda 3 atteint le prix de 30-40 euros en loose ?
Et cette course au profit sur le dos des nostalgiques ou des personnes recherchant un besoin de reconnaissance via leur collection ne s'arrête pas là. Multiplication des ouvrages "collectors" (parce que gratifier un produit de cet adjectif garantira sa fausse rareté, c'est-à-dire une certaine valeur monétaire à l'objet) traitant ça et là de la Megadrive, ou ici et là de la période Playstation. A base d'interviews "inédites", ou de croquis "Encore jamais dévoilés", forcément... Le fond de l'intention est louable et assez intéressant, certes. Mais lorsqu'on voit que le contenu et la rédaction de ces ouvrages fleurent souvent l'amateurisme avec un contenu bien léger, et surtout un prix complètement abusé dans la plupart des cas, on ne peut que, encore une fois, se demander à quel point on pourra tirer la corde monétaire de la "passion rétro". Oui, je sais que certains vont pester mais lorsqu'on paie 200 euros un bouquin tout simplement parce qu'il propose une belle reliure et un "papier glacé" ou je ne sais quoi encore, je m'interroge... Après tout chacun est libre de dépenser son argent comme il le souhaite, mais ceci concourt à faire de l'histoire de notre média quelque chose d'un peu trop grandiloquent, pompeux, et lucratif là où l'on devrait selon moi se contenter de l'exposer comme un loisir simple nous procurant du plaisir et sur lequel nous devrions échanger nos expériences de joueur. Au lieu de ça, le monde du rétro devient snob et même bourgeois, et je trouve ça écoeurant.
En ce qui concerne la "current gen", l'année 2014 m'a encore une fois déçu sur le virage inquiétant que prend le jeu vidéo. Les sorties intéressantes se sont comptées sur les doigts de la main. L'actualité a été creuse, vide, à un point tel que des sites comme jeuxvideo.com ont été obligés de remplir leurs pages par de tops, des speedruns, des chroniques souvent inintéressantes, des news à troll, des rumeurs, etc... Là où j'aimais auparavant lire des reviews sur des jeux arrivant sur les étals j'ai dorénavant un énième top sur un sujet bancal comme "Les jeux qui font le plus peur", ou un 300000ème speedrun sur Super Mario Bros ou Zelda Ocarina of Time... Pffff, mais ça ne m'intéresse pas, bordel ! Quant aux articles de fond, sauf bien sûr quelques rares exceptions (comme la chronique After Bit, très intéressante et dirigée par un tandem compétent qui sait de quoi il parle), c'est souvent superficiel et peu développé.
Mais ce qui pour moi est le pivot de cette année 2014 et ce qui alimente ma déconvenue quant à l'avenir de notre média et la prédominance des tas de jeux dits "indé", auquel on accorde trop d'importance et de reconnaissance. Il suffit qu'un truc développé par 3-4 types dans le fond d'un garage amène une touche graphique rétro et tout de suite : paf, c'est trop génial, c'est de l'art, c'est "du bon jeu comme avant" (alors que souvent les joueurs avançant cet argument atteignent à peine la quinzaine...). Ca dure 3-4 heures, ça propose des graphismes qui ont 20 ans d'âge, mais voilà : jouer à des jeux comme cela prouve qu'on est un "vrai" gamer. Et puis attention hein, les graphismes ne sont pas vieux : ils sont épurés ! Le gameplay n'est pas archaïque, il est brut. Et la difficulté est "à l'ancienne", on se sent trop fort... même si les checkpoints et sauvegarde automatiques sont là pour nous rappeler qu'on est en 2014 ! Alors pour justifier ce retour en arrière, on nous sort (encore une fois !!!) que c'est de l'art, de l'abstrait, du conceptuel. Paf on nous met un jeu en ombres chinoises (Limbo) et tout de suite on se dégorge le poireau en scandant "oeuvre d'art", "génie", "expression artistique", et que sais-je encore. Pouf, on nous sort un enturbanné qui marche, marche, marche sur le sable en poussant quelques sons de flutiaux et zou on nous sort la même chose. Peu importe que l'on ait payé 15 euros pour 3 heures et que l'aspect gameplay soit quasiment inexistant. Pif, on nous colle un jeu avec des graphismes moches MAIS crayonnés, avec des rimes qu'un gothique de 15 ans en mal de reconnaissance écrirait sur son pupitre MAIS des rimes malgré tout, avec une histoire cousue de fil blanc et au dénouement final expédié et bâclé, et tout de suite c'est de la grande poésie. Vous aurez bien sûr reconnu le fameux Child of Light, le jeu très "light", ça on peut le dire...
Pour moi, cette propension à glorifier des jeux simplets qui ne le méritent pas trahit déjà seulement la juvénilité des personnes composant le public de notre média. Allez expliquer à un jeune que les Fleurs du Mal de Baudelaire, qu'il doit étudier et sur lequel il aura une interro, est d'un autre niveau artistique que l'arlequin qui débite des rimes du pauvre dans Child of Light... Forcément l'un est amusant et ne demande pas un travail de recherche intellectuel, l'autre nom. Et zou, le jeune a besoin qu'on reconnaisse qu'il ne fait pas que s'amuser en allumant sa console ; que nenni ! Il s'instruit, il touche à quelque chose de "grandiose", d'artistique. "Vous pouvez pas comprendre, M'man et P'pa, vous êtes réacs !"
Mais ce besoin de sans cesse mettre sur le devant de la scène les jeux indé trahit aussi l'actualité quasiment inexistante sur les consoles de la génération actuelle. Si l'on fait passer des jeux comme The Binding of Isaac ou Brother : A tale of two sons sur le devant de la scène, n'est-ce pas non seulement parce qu'on n'a aucun jeu "moderne" qui vaille la peine d'être discuté, mais aussi parce que ces jeux fleurent bon le bâclage et le commercial ? Quand on voit un jeu comme le dernier Assassin's Creed, bourré de bugs, sortir à la va-vite et imposant quelques semaines après un patch de 7Go pour légèrement arranger les choses, on ne peut qu'avoir envie d'aller voir ailleurs, en l'occurrence du côté des jeux "indé" qui sont, comme on le sait si bien, fait avec amour, main sur le cœur, tout ça tout ça. Quand on voit que, malgré ses défauts, un jeu comme Destiny rafle encore la mise auprès des ventes, qu'un énième Fifa ou Call of fait de même, et que les bandes-annonces de jeux axent de plus en plus leur publicité sur la violence et le calibre des flingues, avec de surcroit la grosse voix grave virile qui t'indique que, oui, "c'est bien toi le SÔÔÔÔveur de l'humanitééééé", on ne peut s'empêcher de penser que le jeu vidéo moderne est devenu un loisir de beauf. D'où, encore une fois, certains qui utiliseront ce prétexte pour glorifier encore une fois les jeux indé, par effet de contraste avec ces gros jeux AAA.
D'un côté on a donc des jeux pour jeunes écervelés associant la violence à la maturité, de l'autre des jeux avec des graphismes simplets et des gameplays simplistes permettant aux canards tripodes de poursuivre leur course effrénée. Comment ne pas se sentir déçu par le monde du jeu vidéo qui se retrouve presque uniquement représenté par ces 2 extrêmes, aussi répréhensibles l'un que l'autre ??
En dehors de tout cela, malgré ma désillusion sur le jeu vidéo actuel, j'ai quand même pu avoir de très belles surprises cette année sur des jeux qui m'ont tout simplement amusé et m'ont procuré les plaisirs simples d'avant, comme chez Maman et Papa.
Tout d'abord le Link Between Worlds sur 3DS qui, une fois de plus, démontre tout le savoir de Nintendo en matière de level design et de fun. Malgré une facilité parfois déprimante, on s'amuse tout au long de l'aventure et l'on s'émerveille toujours de certaines trouvailles.
Ensuite, j'aurais pu me frotter à Pikmin 3 qui trainait depuis un petit moment sur ma pile de jeux Wii U. Un très bon moment de passé même si certaines idées auraient pu être plus approfondies et la durée de vie est un peu trop courte.
Fort de cette aventure, je me décidai à faire le premier Pikmin dans sa version Wii, la fameuse collection "Nouvelle façon de jouer". graphiquement le jeu a atrocement vieilli, et j'ai eu bien du mal à poursuivre ma partie. La difficulté du jeu est aussi intense, bien plus qu'avec le 3ème épisode et démontre, si on en doutait encore, que les jeux Nintendo (et les autres aussi, en général) se sont décidément bien casualisés. J'aurais quand même réussir à finir le jeu, non sans mal ; certains jeux vieillissent un peu plus mal que d'autres...
Fin février, j'ai pu me frotter à un jeu que j'attendais depuis de longs mois dès l'annonce de sa sortie : Donkey Kong Country Tropical Freeze. Que dire ? Une perle, une leçon de level design et de gameplay millimétré, avec une bande-son qui est du même niveau que celles des épisodes SNES, voire au-delà.Je regretterai quand même le manque de surprises et de prises de risque de l'ensemble. Toujours une carte à la Super Mario Bros Wii là ou DKC3 avait introduit une mappemonde originale et interactive. Toujours un seul animal avec Rambi le rhinocéros. Toujours les pièces de puzzle à récolter, et les lettres KONG pour débloquer les niveaux cachés. Hormis la présence de Dixie et Cranky en persos jouables, Tropical Freeze n'est finalement qu'un DKC Returns amélioré auquel il manque un petit brin de nouveauté, de prise de risque. Qu'importe cela dit, il s'agit bien du meilleur jeu de plate-formes 2D actuel, loin devant Rayman Legends.
Puis vint une énorme surprise avec le jeu South Park : le bâton de la vérité. très hésitant à l'acheter, je craquai finalement pour une version en import non censurée. Hé bien malgré les défauts évidents du titre (grande facilité, faible durée de vie), j'ai pris mon pied comme rarement. Que du plaisir du début à la fin, des barres de rire, et une patte graphique complètement identique à celle de la série. J'espère maintenant une suite un peu plus aboutie qui comblera les lacunes de cet épisode, ce qui pourrait donner un jeu encore plus grandiose !
Petite incursion "portage HD" ensuite, avec la compil FFX-FFX-2 Remaster sur PS3. A l'époque, j'avais adoré Final Fantasy X, un peu moins sa suite. Le lissage HD et les retouches sur les visages des protagonistes sont du plus bel effet, et j'ai parcouru à nouveau l'aventure avec un certain plaisir... mais bien moins intense que dans mes souvenirs !! Après avoir fait beaucoup de RPG, les défauts de FFX m'ont sauté au visage : linéarité monstrueuse, "grinding" de psychopathe pour les dernières quêtes annexes, niaiserie trop importante dans la mise en scène... Il faut croire que j'ai grandi, et que je ne peux tout simplement plus toucher à certains jeux... Je n'ai pas commencé sa suite, et doute de le faire un jour.
Puis vinrent les vacances et une petite excursion rétro sur la DS première du nom.
J'essayai tout d'abord de me frotter à Okamiden, ayant comme beaucoup de monde adoré l'épisode premier sur consoles de salon. Hé bien je n'ai pas poursuivi l'aventure très longtemps... Oui c'est sans doute beau pour de la DS, mais en le comparant au premier volet (ce qu'on fait inévitablement), évidemment on ne peut qu'être rebuté. S'il n'y avait que ça, mais le jeu est trop simple, les quêtes annexes peu intéressantes, et la progression est finalement assez "rasoir". bref, c'est un peu le "vrai" Okami au rabais et, même si cela est compréhensible compte tenu du support, c'est quand même décevant. Je verrai si je reprendrai un jour ma partie.
Puis, petite surprise avec le très bon Henry Hatsworth, sur lequel je me suis attardé à la suite des retours positifs de certains membres du forum. J'ai passé un très bon moment avec ce jeu qui propose une bande-son excellente et un concept diablement accrocheur. J'ai particulièrement aimé les boss et la difficulté assez relevée des phases de plate-formes. En revanche, je trouve qu'il manque une petite touche personnelle au jeu, un petit je-ne-sais-quoi dans ce design trop simple et peu recherché, dans ces décors qui ne surprennent guère. De même, le puzzle game n'évolue pas assez au cours de l'aventure et ne propose pas assez de nouveautés, contrairement à la partie plate-formes qui, elle, propose peut-être trop d'options inutiles. Bon, ne chipotons pas, c'est quand même un très bon jeu.
Fin du "marathon DS" avec Dragon Quest 6, que je désirais me faire depuis longtemps. Alors aucune surprise, c'est du DQ, du RPG simple et sans prise de tête, les mêmes quêtes annexes que d'habitude, des héros tout blancs et des méchants tout noirs. Et pourtant, comme d'hab, j'ai adoré. La difficulté est très bien dosée, les graphismes sont jolis et colorés, on ne s'ennuie pas et on recherche toujours les meilleurs équipements. Au pire reprocherais-je au jeu de perdre le joueur avec cette histoire de mondes parallèles où l'on aura du mal à différencier tel lieu dans le Pays des Rêves de son alter-ego dans le "vrai" monde. N'oublions pas aussi que la possibilité de changer de job met quand même un peu trop de temps à arriver dans l'aventure alors qu'elle est au coeur du jeu... Enfin bon, cela reste un excellent Dragon Quest pour ceux qui aiment la série.
Retour sur la Wii U avec le très attendu Mario Kart 8. Je ne vais pas trop revenir sur tout ce que j'ai dit du jeu. Quand bien même Nintendo démontre son savoir-faire avec des circuits intéressants et un fun quasi-immédiat, le jeu fait bien trop la part belle à la chance et, à haut niveau, il fait montre d'un déséquilibre monumental dans la répartition des objets et dans la récompense des aptitudes des joueurs. Pour moi, il faut absolument que Nintendo se bouge pour le prochain épisode car certaines choses qui sont au coeur du gameplay des Mario Kart ne sont plus adaptées au multijoueur "moderne", c'est-à-dire en ligne avec une dizaine d'autres concurrents humains. Entre les triples carapaces rouges inévitables, les pièces qui arrivent trop souvent, la carapace bleue toujours autant abusée, et l'absence de chat vocal entre amis pendant les courses(INCOMPRÉHENSIBLE !), Mario Kart stagne... et cela ne pourra durer éternellement.
Très bonne surprise par la suite avec le Hyrule Warriors sur lequel j'émettais pourtant pas mal de doutes. Au final, un gameplay simple mais prenant et défoulant, des tas de choses à débloquer, des personnages hauts en couleurs, et du fun tout simplement. Bien sûr il faut accrocher au concept répétitif inhérent aux beat'em all, mais sorti de cela le jeu est vraiment très bon.
On arrive bientôt à la fin de l'année avec le duo Bayonetta 1 et 2 sur Wii U. Que dire ? C'est vraiment du grand beat'em all, déjanté, jouissif, qui pète de partout. Accessible en apparence, les jeux se montreront pourtant impitoyables pour ceux qui rechercheront à tout faire parfaitement afin de débloquer les très nombreux trésors cachés. Techniquement le 2 en met plein la vue, tandis que le 1 n'a finalement pas trop vieilli. Mais ce qui m'a frappé personnellement, c'est l'extrême fluidité des jeux (surtout le 2). Putain que c'est fluide ! Ca ne ralentit jamais, ça ne saccade pas, on contrôle parfaitement la belle même dans le feu d'une action frénétique, c'est formidable. On voit clairement que Platinum games a optimisé cet aspect à fond pour rendre le jeu jouable au possible.Et alors on s'éclate, on s'amuse, on enchaine les différents combos à base d'armes toujours de plus en plus folles, et on progresse toujours un peu plus au point qu'on réussit finalement à effectuer des enchainements qu'on ne se voyait jamais faire lorsqu'on avait débuté le jeu. 2 petits bémols histoire de chipoter. Tout d'abord, la Bayonetta du deuxième épisode est un peu moins impertinente et vulgaire que celle dans l'épisode original ce qui enlève un peu de son charme ; Nintendo serait-il passé par-là pour assagir un peu la belle ?? Enfin, en comparant les jeux à Wonderful 101 (ce que je suis obligé de faire vu que les jeux viennent de la même compagnie et proposent de très nombreux points communs), je trouve que le gameplay offre moins de possibilités et de variétés d'approche. Là où W101 permettait de changer en temps réel entre 7 armes différentes, là où il permettait aussi d'avoir une esquive tout comme une protection et là où il demandait d'exploiter les points faibles des ennemis, Bayo 1 et 2 sont un peu plus simples. On ne pourra enregistrer que 2 sets d'armes, chacun constitués de 2 armes différentes, et varier uniquement entre ces deux pendant les combats. De même, l'unique tactique sera d'esquiver les attaques ennemies au dernier moment pour contre-attaquer avec moult combos de plus en plus recherchés là où W101 impliquait souvent un peu plus de "réflexion" dans ses joutes. Bon, hormis cela Bayo 1 et 2 sont fantastiques et, pour ceux allergiques à la vue isométrique de W101 et à son apprentissage difficile, la belle devrait largement les contenter.
L'année se termine bientôt, et j'ai donc à peine entamé Super Smash Bros Wii U. La quantité de choses à débloquer fait peur ! Le jeu semble au départ ultra bordélique et le restera toujours un peu même si la marge de progression du joueur est bien là. Le titre est en revanche un hommage monumental à l'histoire du jeu vidéo avec certaines pistes sonores comme celle de Metro Cross, des personnages mythiques comme Pac-Man et Mega Man, et des stages comme celui de Metroid Other M. En revanche, ÉNORME DÉCEPTION sur l'impossibilité de rejoindre un ami online pour se friter avec des inconnus. Pour se battre avec l'un de nos contacts, c'est salle privée ou rien !! MINABLE, MINABLE, MINABLE de la part de Nintendo !!! 10 ans de retard ! J'espère vraiment un patch dans les semaines à venir.
Et hier, petite folie avec l'achat de Persona Q sur 3DS. L'avenir me dira si j'ai bien fait de craquer...
Bilan : pas mal de jeux Nintendo cette année. ce constructeur/développeur reste pour moi l'un des derniers bastions encore debout pour quiconque désire se faire du "vrai" jeu vidéo fun et exigeant sur les consoles actuelles. Même si, grosse déception, sa politique online est incompréhensible et a une décennie de retard. Sérieusement, le coup de Super Smash Bros Wii U, je ne digère pas. Surtout qu'aucun site "pro" n'en a parlé !! Des dessous de table ??
J'espère maintenant que l'année 2015 verra arriver des licences un peu plus rares de la marque, comme un nouveau F-Zero ou un autre Metroid. On a bien le nouveau Starwing, donc rien n'est exclu !
En ce qui concerne la PS4 ou la XBOX360, rien ne m'intéressent en elles et je pense très sincèrement qu'il s'agit d'arnaques. Payer le prix fort pour rejouer à des jeux sortis il y a à peine un an sur les consoles précédentes, sous couvert d'un lissage HD... Non, mille fois non !
je pense quand même que cette année 2015 va être aussi creuse, voire plus. Le jeu vidéo moderne semble s'être installé dans une routine dont il sera dure de se dépêtrer tant qu'elle apporte de l'argent aux éditeurs. A voir...