Nom: Bravestarr
Genre : Arcade / Shoot'em Up
Plateforme: Amstrad CPC
Date de sortie : 1987
Éditeur : Go!
Autres plateformes : C64, Spectrum
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Bravestarr fait partie des jeux sur CPC auxquels j'avais envie de rejouer, je me souviens que c'est un dernier jeu que j'avais acheté pour 10 ou 20 francs dans un magasin de déstockage et aussi que c'est un des rares jeux d'action sur Amstrad que j'ai réussi à finir sans tricher !
Adapté d'un dessin animé américain peu connu et diffusé sur Canal+ en 1987-1988, Bravestarr utilise les codes binaires du genre, largement repompés sur Musclor : un héros et ses alliés, le marshall Bravestarr, luttant contre un vilain mort-vivant, Tex Hex, dans un univers western futuriste.
Malgré la traduction à la louche de la notice, on comprend que le scénario reprend bien celui du DA. Notre héros étant chargé de délivrer son mentor, de combattre Tex Hex et Stampede l'esprit maléfique.
Techniquement, l'adaptation sur CPC est de bonne facture : le jeu est coloré, fluide et sans ralentissements même lorsque de nombreux ennemis envahissent l'écran. Le personnage est maniable et répond bien. La musique n'est présente que pendant l'écran d'intro mais elle est très réussie (signée par le grand David Whittaker). Les bruitages pendant le jeu sont par contre vite agaçants (piou ! piou !).
Le gameplay est largement celui d'un jeu d'arcade : on avance et on tire sur des vagues d'ennemis incessantes. S'y ajoutent des phases de shump pendant les changements de zones et un zeste d'aventure puisqu'il faudra se rendre dans des lieux précis (le saloon, le magasin...) pour avancer dans l'histoire et débloquer les zones.
Cependant le jeu est facile car le nombre de vie est en fait infini : une mort faisant seulement perdre du temps, la fin du compteur entraînant le Game Over fatidique. Dans la vidéo, le testeur boucle le jeu en un petit quart d'heure c'est dire... Bravestarr aurait donc pu être un bon petit jeu s'il avait été plus abouti et si le challenge avait été plus grand.
Adapté d'un dessin animé américain peu connu et diffusé sur Canal+ en 1987-1988, Bravestarr utilise les codes binaires du genre, largement repompés sur Musclor : un héros et ses alliés, le marshall Bravestarr, luttant contre un vilain mort-vivant, Tex Hex, dans un univers western futuriste.
Malgré la traduction à la louche de la notice, on comprend que le scénario reprend bien celui du DA. Notre héros étant chargé de délivrer son mentor, de combattre Tex Hex et Stampede l'esprit maléfique.
Techniquement, l'adaptation sur CPC est de bonne facture : le jeu est coloré, fluide et sans ralentissements même lorsque de nombreux ennemis envahissent l'écran. Le personnage est maniable et répond bien. La musique n'est présente que pendant l'écran d'intro mais elle est très réussie (signée par le grand David Whittaker). Les bruitages pendant le jeu sont par contre vite agaçants (piou ! piou !).
Le gameplay est largement celui d'un jeu d'arcade : on avance et on tire sur des vagues d'ennemis incessantes. S'y ajoutent des phases de shump pendant les changements de zones et un zeste d'aventure puisqu'il faudra se rendre dans des lieux précis (le saloon, le magasin...) pour avancer dans l'histoire et débloquer les zones.
Cependant le jeu est facile car le nombre de vie est en fait infini : une mort faisant seulement perdre du temps, la fin du compteur entraînant le Game Over fatidique. Dans la vidéo, le testeur boucle le jeu en un petit quart d'heure c'est dire... Bravestarr aurait donc pu être un bon petit jeu s'il avait été plus abouti et si le challenge avait été plus grand.