Oxphar est un jeu d'aventure sur CPC, sorti en 87.
Qu'en dire en 5 points?
1) que c'est un jeu avec un analyseur syntaxique, mais avec des prémices de p&c.
Ainsi, pour mettre un objet dans son inventaire, il ne faut pas écrire "prends clé" , mais cliquer sur la clé.
Par contre, pour utiliser un objet, il faut écrire l'action (par exemple "pecher poisson) puis cliquer sur l'objet (un hameçon) et cliquer sur le bon endroit de l'écran. Ce qui n'est pas dur, il s'affiche et il n'y a souvent qu'un endroit possible.
2) que le jeu est tiré d'une .... pièce de théatre éponyme montée par une petite troupe française.
D'ailleurs, le jeu était vendu avec 2 places de théatre (plus de 200 balles quand même, salauds).
Je ne sais pas si c'était une bonne pièce, mais on n'en trouve plus aucune trace sur le net.
En tout cas, le scénario est globalement incompréhensible. Ambiance heroic fantasy, mais objets à retirer à l'armurerie au distributeur avec une carte de crédit.
3) que c'est un bikini game.
A noter que c'est le seul jeu d'aventure que je connaisse qui envisage la possibilité de baiser sa propre soeur. Ca fait même partie du scénario.
Il faut également tuer son frère. Ca vire a la tragédie grecque.
4) une protection "anti gros mots" originale, sous la forme d'un casse briques obligatoire à terminer à chaque insulte proférée.
une vraie purge, de plusieurs minutes. Très efficace.
5) que si les graphismes sont réussis, l'interface innovante et finalement agréable (y compris un système d'apprentissage de synonymes intéressant), le scénario et les énigmes pas toujours logiques qui font qu'on peut rester bien longtemps bloqué, ternissent un peu l'ensemble.
A relativiser, car pour l'époque, c'est quand même pas mal.
Qu'en dire en 5 points?
1) que c'est un jeu avec un analyseur syntaxique, mais avec des prémices de p&c.
Ainsi, pour mettre un objet dans son inventaire, il ne faut pas écrire "prends clé" , mais cliquer sur la clé.
Par contre, pour utiliser un objet, il faut écrire l'action (par exemple "pecher poisson) puis cliquer sur l'objet (un hameçon) et cliquer sur le bon endroit de l'écran. Ce qui n'est pas dur, il s'affiche et il n'y a souvent qu'un endroit possible.
2) que le jeu est tiré d'une .... pièce de théatre éponyme montée par une petite troupe française.
D'ailleurs, le jeu était vendu avec 2 places de théatre (plus de 200 balles quand même, salauds).
Je ne sais pas si c'était une bonne pièce, mais on n'en trouve plus aucune trace sur le net.
En tout cas, le scénario est globalement incompréhensible. Ambiance heroic fantasy, mais objets à retirer à l'armurerie au distributeur avec une carte de crédit.
3) que c'est un bikini game.
A noter que c'est le seul jeu d'aventure que je connaisse qui envisage la possibilité de baiser sa propre soeur. Ca fait même partie du scénario.
Il faut également tuer son frère. Ca vire a la tragédie grecque.
4) une protection "anti gros mots" originale, sous la forme d'un casse briques obligatoire à terminer à chaque insulte proférée.
une vraie purge, de plusieurs minutes. Très efficace.
5) que si les graphismes sont réussis, l'interface innovante et finalement agréable (y compris un système d'apprentissage de synonymes intéressant), le scénario et les énigmes pas toujours logiques qui font qu'on peut rester bien longtemps bloqué, ternissent un peu l'ensemble.
A relativiser, car pour l'époque, c'est quand même pas mal.