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Mario & Luigi Paper Jam Bros. (Test 3DS)

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MacGregou

MacGregou
Maudit du Forum

Mario & Luigi Paper Jam Bros. (Test 3DS) Mario_10


Yop la boum ! Voici mon avis sur un bon p’tit jeu 3DS que j’ai terminé à fond il y a peu. J’espère que cela vous motivera pour un éventuel achat. Bonne lecture.



Je vais donc vous parler de Mario & Luigi Paper Jam Bros. Ceux qui ont essayé au moins un jeu de la série des Mario & Luigi le savent, chaque épisode fait preuve de fun et d’inventivité et met en avant le plaisir de jeu tout en ne négligeant pas la courbe d’apprentissage chez le joueur. Ce dernier épisode sur 3DS ne fait pas exception. On est surpris des trouvailles de gameplay que les développeurs ont pu introduire dans le nouvel épisode d’une saga qui, pourtant, est souvent accusée (à tort) de tourner en rond.
Après le Dream Team Bros où l’on découvrait un monde onirique (au sens propre du terme) qui permettait toutes les frasques possibles avec Luigi, Paper Jam choisit cette fois de mélanger l’univers de la série avec celui des Paper Mario. Par la faute de Luigi qui fait malencontreusement tomber un livre d’images contenant le monde de Paper Mario, les habitants de l’ouvrage sont alors éparpillés un peu partout sur les terres du Royaume Champignon. Ce qui signifie des dizaines de Toads de papier à retrouver et sauver, une 2ème princesse Peach à délivrer… et bien entendu deux fois plus de méchants ! En effet, les alter-egos de papier de Bowser, Bowser Junior, Kamek et compagnie ne vont pas se gêner pour s’allier avec leurs comparses aux reliefs plus rondouillards. Ce qui, bien sûr, se traduira parfois par des relations houleuses entre ces andouilles qui chercheront à tirer toute la couverture pour être seuls sur le devant de la scène.

Bien entendu, il existe aussi un Mario de papier. Et ce dernier va vite rejoindre la traditionnelle équipe normalement constituée de seulement 2 personnages, Mario (de chair) et Luigi (de chair aussi). Et là, cela va déjà changer pas mal de choses par rapport aux épisodes précédents. En effet, on le sait tous, les Mario & Luigi proposent des combats nécessitant des réflexes de la part du joueur. Un bouton est d’ordinaire attribué à chacun des frères Bros et l’on doit appuyer à des moments extrêmement précis pour éviter les assauts ennemis ou à contrario pour réussir nos propres attaques. Hé bien croyez-le, mais devoir gérer un 3ème personnage et donc un 3ème bouton ajoute enfin une difficulté qui faisait généralement défaut à la série ! Face aux attaques adverses, nous avons bien souvent peu de temps pour décider si nous allons devoir presser A, B, ou Y. Le hasard a donc ici moins sa place qu’avant et la technique bien connue des habitués de la franchise, à savoir presser les 2 boutons affiliés à Mario et Luigi simultanément lorsqu’on ne sait pas vers qui va se diriger l’attaque ne fonctionne ici plus aussi bien.
Les affrontements nécessitent alors une concentration accrue, d’autant plus que la plupart des ennemis classiques ont eux aussi leur version « papier », ce qui va nettement influencer le timing de leurs attaques. Par  exemple, un Goomba de papier sera plus léger et ses attaques vont donc être plus lentes que celles d’un Goomba normal… ce qui risque de faire foirer votre timing pour une contre-attaque ou simplement pour esquiver ses coups. Par ailleurs, il faut noter que les différences d’attaques des ennemis entre leurs versions papier ou « rondouillard » ne se limitent pas juste à un changement de vitesse d’exécution. Bien souvent, on sera surpris de voir un ennemi de papier opter pour une stratégie originale comme se transformer en batte de baseball, sauter et planer vers un de vos personnages, voire même se dupliquer en plusieurs copies carbone. Il arrivera même que certains ennemis fonctionnent en tandem, avec une version rondouillarde qui utilisera son confrère de papier pour attaquer d’une manière là encore surprenante.

Mais s’il est un domaine où l’inventivité des combats explose, c’est bien lors des affrontements contre les boss ! Ceux-ci sont tout simplement les meilleurs de la série. Bourrés d’originalité, avec de nouvelles phases introduites à chaque fois, et faisant souvent la part belle à la 3D de la console, ces combats nous démontrent encore une fois que Nintendo reste décidément le maître lorsqu’il s’agit de développer des idées de gameplay. Mario de Papier sera souvent sollicité lors de ces phases et se transformera tour à tour en avion, en trampoline, en boomerang, pour toujours plus de fun et de surprise. Chaque boss aura un petit « truc », une phase spécifique, ou introduira des mécaniques de combat différentes avec lesquelles il faudra composer pour espérer les battre. Je retiendrai principalement un combat haletant contre le tandem Kamek/Kamek de Papier, ou bien certaines batailles contre les Koopalings qui signent là une de leurs meilleures prestations.

A côté de cela, l’aventure n’est pas avare en mini-jeux. Certains amusants, d’autres plutôt rébarbatifs, mais ils ne durent jamais très longtemps. Par contre sachez qu’à certains moments-clés de l’aventure il vous faudra participer à certains de ces mini-jeux qui vous demanderont de sauver un certain nombre de Toads de papier. Il sera obligatoire, pour avancer, de participer à des sortes de mini-quêtes visant à retrouver ces stupides champignons humanoïdes. C’est hélas un petit aspect du jeu qui pourra lasser car ces missions sont trop nombreuses et trop présentes, et cassent alors le rythme de l’aventure. Il est assez frustrant, au bout de 10 fois, de voir Toadette arriver pour nous dire « Oh la la, il nous manque 15 Toads de papier pour mettre au point ma nouvelle invention » : une phrase lourde de sens qui signifiera que vous devrez vous investir l’espace d’un petit quart d’heure dans un de ces mini-jeux pas forcément passionnant, alors que vous auriez tout simplement préféré entamer enfin l’exploration de cette grotte pourtant intrigante. Cela dit, si comme moi vous êtes un complétiste, participer à toutes ces missions ne vous gênera pas outre mesure car vous comprendrez vite que les récompenses à la clé sont souvent intéressantes et sont une bonne petite carotte pour vous impliquer un peu plus dans le 100%. Vous pourrez obtenir quelquefois de nouveaux équipements, de nouvelles attaques spéciales pour votre trio de héros, ou des cartes pour votre deck.

Des cartes ? Un deck ? De quoi je parle ? Hé bien d’une nouvelle petite mécanique de jeu introduite un peu plus tard dans l’aventure, et qu’il ne faudra pas négliger. On pourra donc se constituer un jeu de 10 cartes pour bénéficier à l’envie de leurs effets pendant un combat. Attaque réduite de 20% pour les ennemis, expérience accrue après le combat, régénération des points de compétences… Ce genre de trucs quoi. Chaque carte nécessitera un certain nombre de Points Etoile, points qui s’obtiennent principalement pendant les combats en réussissant les attaques et les esquives ou contre-attaques. Et bien sûr, plus la carte est puissante, plus cette dernière sera gourmande en Points Etoile. On pourra donc développer une stratégie basée sur cet aspect du gameplay pour se faciliter la tâche ; cela sera même parfois plus que nécessaire pour espérer survivre à certains combats difficiles, les attaques ennemies faisant plus de dégâts que dans les épisodes précédents. Certaines cartes rares, dites brillantes, offriront des effets accrus pour un coût de Points Etoile moindre ; on les obtiendra parfois par hasard en battant des ennemis puissants, ou en réussissant certaines quêtes. On pourra même, semble-t-il, se créer certaines cartes grâce à des Amiibos mais j’avoue que je n’ai pas du tout testé la chose, d’autant plus que j’ai pu lire ici et là que ces cartes sont complètement fumées et facilitent bien trop le jeu ; je n’ai pas envie de me pourrir l’expérience avec des ajouts qui s’apparentent plus à du cheat code !

Comme dans les précédents épisodes, il existera aussi plusieurs « paliers » importants dans l’évolution de vos héros, ce qui se traduira par un « Rang ». Vous débuterez donc par le Rang Champignon et, à mesure que vous gagnerez des niveaux, passerez en vrac par les Rangs Carapace ou Boomerang, pour espérer atteindre le tant convoité Rang Arc-en-ciel. Là où la chose est intéressante, c’est qu’un passage à un rang différent vous proposera de choisir un bonus permanent pour le personnage en question. Par exemple, pouvoir porter une pièce d’équipement en plus. Ou bien gagner un point en attaque à chaque niveau supplémentaire. Ou augmenter le total de Points Etoile pour l’équipe. Par conséquent, il y a une réelle petite customisation qui est ici présente, et il faudra alors faire des choix cornéliens : va-t-on privilégier l’attaque de Mario, ou bien opter pour la défense ? Va-t-on faire de Mario de Papier un personnage axé sur le support (je vous le conseille !), ou bien un attaquant pur ?
Tout cela sera laissé au libre choix du joueur. Un choix qui, vous le comprendrez, risque d’être déterminant pour le bon déroulement des futurs combats, surtout pour les plus difficiles défis optionnels.

Et la durée de vie ? Hé bien l’aventure est à mon sens légèrement plus courte que le précédent volet, Dream Team Bros. En revanche, ce dernier s’étalait bien trop longtemps dans certains niveaux qui devenaient à la longue un peu lassants (la forêt vers la fin du jeu par exemple). Paper Jam se veut au contraire mieux rythmé, si l’on excepte bien sûr la récurrence des mini-quêtes pour retrouver les Toads, dont j’ai précédemment parlé.
Le jeu introduit aussi l’excellente idée des défis Experts. Concrètement, vous aurez une liste de micro-défis qui se dévoilera au fur et à mesure de l’aventure et basée principalement sur vos prouesses en combat. Vous devrez par exemple éviter 5 fois de suite les attaques de chaque ennemi du jeu, réussir plusieurs fois de suite vos propres attaques, tuer 10 ennemis d’un seul coup, réussir un combat de boss sans armure, réunir un certain nombre de pièces d’or, tout ça tout ça… Ce qui est génial, c’est que réussir ces défis vous donnera des Points Expert à dépenser dans une sélection spécifique d’équipements souvent bien particuliers. Encore une savoureuse carotte pour vous forcer à approfondir un peu plus le jeu ! A noter qu’il existera une arène vous permettant d’affronter à nouveau les boss dans des versions plus fortes, de tenter votre chance dans des mini-jeux exigeant de vous l’exécution parfaite de vos attaques spéciales, etc etc… Bref, les adeptes du 100% ne s’ennuieront absolument pas, surtout que le challenge est vraiment au rendez-vous pour TOUT obtenir.

Enfin, comme tout Mario & Luigi, le jeu n’est pas dénué d’humour, contrairement à ce que j’ai pu lire ici et là sur certains tests (mais il faut croire que ce qui fait rire, maintenant, est de voir un présentateur télé se faire tatouer une bite sur le torse dans GTA 5… Triste monde…). On aura des situations totalement rocambolesques, des Deus Ex Machina totalement assumés et même tournés en dérision avec Toadette qui, devant 2 Kameks stupéfaits, déboulera devant eux avec un Titancarton (j’y viendrai plus tard…) qu’elle affirmera avoir construit « Là, maintenant, en 10 minutes ». Et où ? « Ben là, dans le Château de Bowser ». Le jeu se moquera même du sempiternel scénario des Mario. Lors d’une discussion entre Princesse Peach et sa comparse de papier, ces dernières en viendront naturellement à parler de mode, de leur apparence, de ce qu’elles aimeraient porter, etc… Et Princess Peach dira « Oui, j’aimerais bien changer de look des fois mais j’ai peur de choquer mon entourage. J’ai bien essayé quelquefois de nouer mes cheveux en natte lorsque je fais un peu de sport, mais je n’ose pas aller plus loin, patati patata ». Elle dira encore « C’est vrai que ça devient ennuyeux d’être sans cesse enlevée par Bowser. Mario vient me sauver par-ci, Mario aide-moi par-là… ». Franchement, certains événements du jeu sont vraiment marrants ; il faut vraiment prendre le jeu au second degré et ne pas se dire que c’est encore un Mario où l’on doit retrouver la princesse. L’intérêt de l’histoire réside dans son écriture, non dans son sujet.

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Alors quels sont les principaux défauts ? Outre la redondance et la trop grande présence des mini-jeux dont j’ai parlé un peu plus haut, le jeu a un très gros défaut qui apparaitra principalement à ceux qui ont joué à Dream Team Bros et A l’intérieur de Bowser. Ces deux précédents épisodes introduisaient ce qu’on appelle des Combats de Titans. Certains combats contre des boss de l’aventure nécessitaient de jouer avec la console à la verticale pour des mécaniques de combat novatrices et une mise en scène absolument phénoménale. A ce titre, le dernier Combat de Titan dans Dream Team Bros est tout simplement l’un des combats les plus épiques qu’il m’ait été donné de voir.
Or, dans Paper Jam, les développeurs ont voulu proposer quelque chose de nouveau avec les combats de Titancarton. Bon, on ne leur en voudra pas de tester de nouvelles choses : on se plaint bien trop souvent de Nintendo qui reste sur ses acquis. Oui mais voilà, ces combats de Titancarton sont mous, mal foutus, avec un gameplay bancal et un intérêt parfois proche du néant. C’est long, c’est chiant, c’est répétitif, pas impressionnant pour un sou, même pas gratifiant pour le joueur.
Concrètement vous dirigez un géant de carton à l’effigie d’un  personnage, porté par une troupe de petits Toads, et vous le déplacez dans une arène en 3D. Vous pouvez foncer sur des ennemis, balancer votre Titancarton sur l’adversaire, et aller ensuite le récupérer pour éviter qu’il se fasse violenter en retour. Certains Titancartons adverses ont des points faibles à des moments spécifiques et il faudra bien comprendre leurs tactiques pour espérer contre-attaquer en bonne et due forme. Mais que c’est lent ! Que c’est répétitif ! On fait toujours la même chose, peu ou prou, avec une caméra qui ne suit pas et qu’il faut recadrer, et des imprécisions phénoménales parfois dans le gameplay. Notons aussi que les attaques puiseront dans une barre de pouvoir qu’il faudra recharger en allant dans des zones spécifiques du terrain, et appuyer alors en rythme sur un bouton avec une petite musique. Lorsque vous devrez faire cela 4 à 5 fois dans un combat, je vous jure que vous en aurez marre, surtout que cela n’est pas amusant pour un sou !
Heureusement, ces combats de Titancarton ne sont pas très présents dans l’aventure. 5 ou 6 à tout casser. Mais là où précédemment l’arrivée d’un Combat de Titans dans les épisodes précédents était quelque chose de génial qui mettait le joueur dans l’expectative, ces Titancartons sont maintenant une purge totale que l’on voudra passer au plus vite. C’est vraiment dommage ! Espérons que cette idée soit abandonnée pour le prochain épisode de la saga car c’est un essai totalement raté.

Les autres défauts du jeu qu’on peut noter sont minimes, et seront essentiellement notés si vous êtes un habitué de la série. Il y a en effet un peu de recyclage avec des attaques spéciales qui étaient déjà présentes dans les épisodes précédents. Et, globalement, les nouvelles manquent un peu de folie et d’imagination lorsqu’on les compare avec ce qui s’était fait précédemment dans la série. Bon, le jeu introduit grâce à Mario de Papier les Attaques Trio, nécessitant la présence des 3 personnages, pour des coups spéciaux surpuissants et complètement déjantés ; on ne pestera donc pas trop contre ce léger recyclage.
Viennent ensuite les graphismes. Intrinsèquement, ils sont très jolis et colorés et on ne peut rien leur reprocher. Mais ceux qui ont déjà fait Dream Team Bros seront sans doute un peu déçus de voir qu’il n’y a pas vraiment d’évolution à ce niveau-là. Les sprites de Luigi et Mario sont les mêmes, la patte graphique est la même, bref il n’y a pas vraiment de surprise hormis l’itération de certains décors en papier bien évidemment.
Venons-en maintenant au personnage de Mario de Papier. Celui-ci dispose de ses propres particularités dans les combats et a donc un gameplay bien spécifique. Notamment, il peut créer des répliques (photocopies) de sa personne qui encaisseront les dégâts pour lui au cas où vous raterez une esquive. Ce n’est qu’après la destruction de la dernière photocopie que Mario de Papier verra ses points de vie baisser sous réserve qu’il encaisse à nouveau une attaque. Vous pourrez choisir de griller un tour pour créer à nouveau toutes vos photocopies en une seule fois et ainsi reconstruire votre protection dans son intégralité. Vous l’aurez sans doute compris : ce pouvoir fait de Mario de Papier un personnage surpuissant qui succombera bien trop difficilement sous les assauts ennemis pour peu que vous gériez l’esquive comme il faut. Mario de Papier peut aussi sauter et planer l’espace d’un petit temps, et dispose donc d’un timing beaucoup plus large que ses camarades de chair pour éviter les attaques. C’est un peu dommage car tant que Mario de Papier est debout le joueur ne ressentira pas vraiment d’appréhension face à un boss. Bon, heureusement le personnage se révèle être le plus faible en attaque : ce pourquoi un rôle de soutien lui conviendra parfaitement, comme je l’avais précisé plus haut.

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Voilà. Je crois avoir fait à peu près le tour. Pour ceux qui n’ont jamais fait un épisode la saga des Mario & Luigi, ne vous braquez pas sous prétexte que c’est encore Mario et la princesse, que Bowser est toujours le grand méchant, que c’est neuneu, gnangnan, ou que sais-je. Les jeux de la série sont de vrais bons RPG bourrés d’humour et d’inventivité. Et cette inventivité ne faiblit pas dans cette épisode qui introduit très bien le monde Paper Mario à son univers pour des mécaniques de jeu très bien pensées (hormis, donc, les combats de Titancartons). Je le répète mais les combats de boss sont absolument géniaux et vous arracheront le sourire par leurs trouvailles. La difficulté légèrement revue à la hausse n’est pas un mal non plus, on sent qu’un effort a été fourni de ce côté-là. Enfin, si l’aventure en elle-même est relativement courte (quoique, 35 heures environ c’est pour moi déjà pas mal !), atteindre le 100% sera un véritable challenge réservé aux experts qui sauront rester zen pour éviter toutes les attaques ennemies à la perfection.
Un peu moins surprenant que le « A l’intérieur de Bowser » qui reste pour moi le meilleur épisode de la saga, Paper Jam se place néanmoins juste derrière lui. Plus axé sur le gameplay, sur le fun, avec certes parfois un peu trop de zèle dans ces profusions de quêtes annexes, il est un excellent jeu qui amuse le joueur tout en sachant le récompenser pour ses prouesses. Un très bon moment de jeu vidéo, tout simplement.

defskerus

defskerus
Dieu Breton
Un jour je l’achèterais.
Un jour encore plus loin dans le temps, je le ferais.

Mais j'aimerais bien me faire les épisodes dans l'ordre.
J'ai fait le premier Mario & Luigi sur GBA, j'ai beaucoup aimé, le système de combat et l'humour absurde étaient vraiment les gros points forts du jeu.
Faut que je fasses aussi les Paper Mario et même le Mario RPG de la snes !

Musashi Oboro

Musashi Oboro
Ninja Tune
Merci pour ce papier Gregou, j'ai pas tout lu afin de conserver certaines surprises. Car c'est ce que j'apprécie avec cette série : sur la base d'un gameplay que je trouve excellent, chaque épisode apporte son lot de nouveauté sans dénaturer le concept de départ. L'ajout d'un 3ème personnage, et donc d'un 3ème bouton, ça paraît bête sur le papier (enfin, sur le Paper) ... mais ça doit réellement peser pendant les combats !

Du coup, je préfère découvrir tout ça directement in-game ! D'autant plus que je n'ai toujours pas fait Dream Team Bros. ... du coup, je me demande si ce n'est pas le prochain à y passer après Odin Sphere !

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