Capcom est une société presque indissociable du monde de l'arcade dans les années 90. Ses systèmes d'arcade à cette époque se nommaient les CPS (pour Capcom Play System).
Tout comme pour SNK et sa NeoGeo, l’architecture matérielle est basée sur un ensemble de composants très similaires à celle de la Megadrive (on y retrouve les processeurs Motorola 68000, les Zilog Z-80,...) qui formaient un ensemble assez courant à cette époque.
Bien qu'à l'époque des 16bits, l'éditeur avait réussi à porte massivement les jeux de sa première génération de carte (CPS-1), cette nouvelle architecture, boostée en RAM et en cadence processeur n'aurait pas été très convaincante et aurait souffert de grosses obligations de downgrade pour fonctionner (bien que la version de Street Fighter Alpha 2 sur SNES sera tout de même remarquable).
L'arrivée des 32bits et particulièrement de la Saturn de SEGA avec son slot d'extension de RAM sur cartouche (1M et 4M) et son importante capacité interne en mémoire offriront à Capcom l'occasion de porter ses tueries du moment.
Tout comme chez SNK, la majorité des jeux disponibles sur CPS-2 seront des jeux de baston (11 sur 14 jeux portés), Capcom n'ayant plus rien à prouver dans le domaine puisque l'éditeur est, rappelons-le, le papa de Street Fighter et plus précisément de l’énorme succès des versions "2" du jeu.
Street Fighter Alpha 1 et Alpha 2
Street Fighter Alpha 3 et X-Men Children Of The Atom
Marvel Super Heroes et Cyberbots Fullmetal Madness
Vampire Hunter et Vampire Savior
X-Men Vs Street Fighter et Marvel Vs Street Fighter
Pocket Fighter et Super Puzzle Fighter II Turbo
Dungeons & Dragons : Shadow over Mystara et Tower of Doom
Voici donc encore une grosse poignée de classiques des salles de jeux qui débarqueront sur Saturn. Bien que la Playstation de Sony profitera tout de même de certains de ces titres, le rendu graphique sera bien moins fidèle aux bornes de part le manque de mémoire de la console et son impossibilité à l’étendre comme se fut le cas sur Saturn. Éléments de décors, animations en background et frames d'animations manquantes seront les principales lacunes de la machine de Sony face à la puissance de la Saturn en environnements 2D.
Encore et toujours, la Saturn prouve une fois de plus sa suprématie en matière de 2D ainsi que sa capacité d'adaptation vers des systèmes arcade réputés puissants (bien que les NeoGeo et CPS soient en fait des systèmes 16bits mais à la fréquence processeur élevée et à la capacité mémoire plus importante).
Tout comme pour SNK et sa NeoGeo, l’architecture matérielle est basée sur un ensemble de composants très similaires à celle de la Megadrive (on y retrouve les processeurs Motorola 68000, les Zilog Z-80,...) qui formaient un ensemble assez courant à cette époque.
Bien qu'à l'époque des 16bits, l'éditeur avait réussi à porte massivement les jeux de sa première génération de carte (CPS-1), cette nouvelle architecture, boostée en RAM et en cadence processeur n'aurait pas été très convaincante et aurait souffert de grosses obligations de downgrade pour fonctionner (bien que la version de Street Fighter Alpha 2 sur SNES sera tout de même remarquable).
L'arrivée des 32bits et particulièrement de la Saturn de SEGA avec son slot d'extension de RAM sur cartouche (1M et 4M) et son importante capacité interne en mémoire offriront à Capcom l'occasion de porter ses tueries du moment.
Tout comme chez SNK, la majorité des jeux disponibles sur CPS-2 seront des jeux de baston (11 sur 14 jeux portés), Capcom n'ayant plus rien à prouver dans le domaine puisque l'éditeur est, rappelons-le, le papa de Street Fighter et plus précisément de l’énorme succès des versions "2" du jeu.
Street Fighter Alpha 1 et Alpha 2
Street Fighter Alpha 3 et X-Men Children Of The Atom
Marvel Super Heroes et Cyberbots Fullmetal Madness
Vampire Hunter et Vampire Savior
X-Men Vs Street Fighter et Marvel Vs Street Fighter
Pocket Fighter et Super Puzzle Fighter II Turbo
Dungeons & Dragons : Shadow over Mystara et Tower of Doom
Conclusion :
Voici donc encore une grosse poignée de classiques des salles de jeux qui débarqueront sur Saturn. Bien que la Playstation de Sony profitera tout de même de certains de ces titres, le rendu graphique sera bien moins fidèle aux bornes de part le manque de mémoire de la console et son impossibilité à l’étendre comme se fut le cas sur Saturn. Éléments de décors, animations en background et frames d'animations manquantes seront les principales lacunes de la machine de Sony face à la puissance de la Saturn en environnements 2D.
Encore et toujours, la Saturn prouve une fois de plus sa suprématie en matière de 2D ainsi que sa capacité d'adaptation vers des systèmes arcade réputés puissants (bien que les NeoGeo et CPS soient en fait des systèmes 16bits mais à la fréquence processeur élevée et à la capacité mémoire plus importante).
Dernière édition par fafy le Lun 27 Juil - 13:42, édité 3 fois