LEGEND OF SAYUKI (Yukinko Daisenpuu: Sayuki to Koyuki no Hie Hie Daisoudou)
Je l'ai déjà dit mais c'est N'IMPORTE QUOI l'impossibilité de sauvegarder, N'IMPORTE QUOI ! Au moins à mi-parcours, bordel... Là, j'ai fait quelque chose que je ne fais (plus) jamais : un marathon ! J'en pouvais plus, j'ai joué plus de 4 heures pour en voir la fin, c'est du hardcore gaming, mais en termes de résistance
Ah et maintenant je comprends pourquoi la version PS2 est plus cotée : le pad est sans doute plus agréable (là il faut secouer la wiimote pour envoyer une tempête de glace) et surtout, SURTOUT il y a un niveau en moins sur PS2 - si j'en crois les longplays que j'ai vus sur Youtube.
Et oui, c'est une bonne chose ! Parce que le niveau supplémentaire sur Wii est une daube absolue ! Il faut trouver des clés disséminées dans une immense carte, sans indication, c'est lourd, lourd, long... et le temps est limité ! Je ne le savais pas, mais au bout d'un moment, des petits fantômes commencent à nous harceler à chaque seconde - pour finalement nous tuer, puisqu'ils sont en nombre illimité. Un niveau NUL, j'ai perdu au moins 1h30 dessus !
Au rayon des mauvaises idées (avec l'absence de sauvegarde), citons un pouvoir de boss (en plus ils sont deux à l'avoir) qui inverse nos commandes (j'ai toujours détesté ça) et un dernier niveau en forme de boss-rush, il faut se refaire tous les boss... Noooooooooooooooon !!!! L'un des trucs que je déteste le plus dans les jeux vidéo... LE RECYCLAGE POURRI DE BOSS A LA FIN.
Dommage parce que le jeu est sympa. Les armes sont assez puissantes (il faut absolument les upgrader), y'a pas mal de secrets disséminés çà et là, on a deux pouvoirs (tempête de glace et, heu, un autre genre de blizzard...), l'esquive est primordiale... Sympa comme tout. Mais au final, un jeu tout juste moyen en raison de certains choix très bizarres de la part des développeurs...
Enfin bon, j'en suis venu à bout. Je suis explosé. En finissant le jeu, on débloque par la même occasion un chapter select et un boss-attack (chronométré et tout et tout).